Pourquoi les entreprises souhaitent revenir en arrière sur leur migration vers le cloud


L'ERP aujourd'hui est souvent le coeur du Système d'Information de l'entreprise.
Vous avez la possibilité de l'heberger chez vous, sur votre serveur en mode "on premise" avec une sauvegarde sur le Cloud. C'est ce qu'on apelle le mode hybride

Vous avez également la posssibilité d'héberger votre ERP en mode SaaS, c'est à dire hebergé chez l'éditeur. Evidement, les éditeurs ont tout interêt de vous vendre cette solution !

Les arguments commerciaux sont convainquants : Vous n'avez plus rien à gérer,
"Nous nous occupons de l'ensemble du système et des liens, laissez nous faire !
Vous n'avez plus de materiel chez vous et nous vous garantissons la disponibilité et la continuité du système."

La promesse est belle, le système fonctionne bien, mais la limite de celui-ci est que la facturation est absolument occulte, le prix est important et chaque évolution ou changement verra apparaitre un surcout.

Plusieurs clients nous demande de les accompagner afin de sortir de ce sytème. 
Ce n'est pas une tache simple, l'hebergeur tentant de bloquer l'accès aux services extérieurs.
Cerise sur le gateau, vous êtes hébergé et souhaitez apporter une modification, il faut encore payer ! La mise en place d'un VPN peut être facturé en complément du contrat plusieurs centaines d'€uros pour 10 minutes de manipulation !

Sachez que chez 2SREI, nous sommes spécialistes des systèmes dinformatiques, de l'hébergement et de l'infogérance sur Mazan, dans le Vaucluse.
Il n'y a pas de surprise ou de surcout, vous avez besoin de mettre en place un VPN, ca fait partie de notre accompagnement.

Dernière expérience en date, notre client nous indique payer plusieurs milliers d'€uros par mois pour être totalement externalisé et leur SI interne n'est pas infogéré !
En mode projet, nous leur sortons un devis qui divise par 2 le prix actuel en mode hybride et avec l'infogérance totale de leur Système d'Information.
Ca laisse songeur !

Bonne lecture
Trois entreprises sur quatre reviennent en arriere sur leur migration vers le cloud